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Zombie contre attaque le film ( Terminer )

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Notre chasseur d'infecté était pour le moment dans son appartement qui se trouvent dans de vieilles ruelles abandonnées. Personne n'ose se promener à l'intérieur, car plusieurs infectés y rodent. Enfin c'est ce que les survivants pensent, mais cela fait longtemps qu'il habite là et qu'il n'a jamais vu d'infecté ou presque. Faut croire qu'il a eu de la chance depuis le début.

Wolke aimait bien cette appartement, car cela lui faisait rappeler des moments qu'il avait passé avec sa famille et cela lui faisait rappeler sa mission. Il devait tuer tous les infectés de Black River, car c'est de leur faute s'il a perdu sa famille. Toujours dans son lit, il se disait qu'il devrait bientôt se lever, car les zombies n'allaient pas attendre après lui. Cependant, il ne savait pas trop où aller aujourd'hui. Il avait voyager pas mal dans le parc durant la semaine dernière pour éliminer quelques infectés et cela lui ferait du bien de changer de secteur. Tout en se levant de son lit, il réfléchissait à l'endroit où il pourrait aller autre que le parc bien sûr.

Il se disait qu'il pourrait aller à l'aéroport, mais il se rappelait qu'il avait déjà été là-bas il y a longtemps de cela et il en a perdu l'envie d'y aller, mais après un certain temps à réfléchir tout en s'étirant les muscles de son corps, il se disait qu'il pourrait dans un endroit qui pouvait être amusant comme le night-club, le country pub ou bien le cinéma. Quand il pensa au cinéma, il ne pouvait pas s'empêcher de penser au dernier film qu'il avait écouté au cinéma. Zombie contre attaque le film. C'était un film qui était soi disant un film d'horreur, mais que finalement, tout le monde le trouvait plus comme un film de comédie tellement que les zombies était mal faites et que le scénario était parfois un peu à désirer. Tout en se rappelant de ce film, Wolke se disait qu'il pourrait retourner au cinéma et peut-être qu'e même temps de tuer des infectés, qu'il pourrait trouver le film en question et le faire tourner une fois qu'il y aura plus de menace dans le cinéma.

Une fois qu'il avait choisi sa destination, celui-ci s'habilla comme à son habitude pour ensuite s'équiper de ses deux fusils et d'une lampe de poche au cas où qu'il ferait trop noir dans le cinéma et il quitta son appartement en prenant soin de la barrer pour ne pas avoir de visiteur surprise et il mit une planche de bois contre la porte pour empêcher les infectés du secteur de tout saccader. Maintenant que tout cela était fait, notre chasseur qui le quartier sans aucun problème comme à l'habitude pour ensuite se rendre devant le cinéma.

Le bâtiment n'avait pas changé. Enfin si on le regardait de l'extérieur. Wolke pouvait encore voir l'annonce des derniers films que le monde pouvait voir au cinéma. C'était comme si rien ne c'était passé, mais c'est sans doute rendu à l'intérieur que cela ne sera pas pareil. Notre chasseur entra donc à l'intérieur en ouvrant la porte de droite et la referma derrière lui. L'endroit était tellement sombre qu'il ne pouvait pas savoir où il se trouvait dans le cinéma. Il sortit donc sa lampe de poche et l'un de ses pistolets pour s'éclairer et pour bien sûr être armé au cas ou il y aurait des infectés proche.

Quand il alluma sa lampe de poche, il avait une petite lumière qui lui permettait de voir devant lui, mais cela n'était pas assez fort pour l'éclairer au point de tout voir. Pour le moment tout semblait normal, il semblait rien y avoir pour l'instant. Wolke prit la chance d'observer autour de lui et de se rendre compte qu'il se trouvait dans le hall d'entré. L'endroit où on payait pour les billets ou pour les sucreries. Il se dirigea vers la première salle quand il entendu du bruit derrière lui. Il pointa son arme vers la direction et sa lampe de poche pouvait à peine éclairer vers l'endroit en question. Est-ce que c'est un infecté qui se dirige vers lui pour le tuer ou serait-ce autre chose ?
Ven 27 Avr - 17:12

Dernière édition par Wolke Ryuka le Ven 22 Juin - 10:03, édité 1 fois
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Léon arrive en ville tôt.

L'hélicoptère qui l'avait déposé ne pouvait pas voler le jour, de peur que des survivants mal intentionné de Black River ne le repère trop vite et ne le traque. Les humains ont assez de soucis avec les zombies, pourquoi s'entre tuer entre humains? Mais bon, pas mal de survivants n'avaient pas encore compris que s'entre aider c'était survivre.

Durant les 4 secondes de descente de la corde reliant l'hélicoptère du sol, Léon repensa à tous les évènements qui l'avait mené ici, à Black River, une ville qui est, ou du moins qui l'était, paisible. Tout comme Raccoon City avant que l'alarme de la ville ne se mette à sonné, bloquant ainsi les accès d'entrée et de sortie de la ville. Mais quoi qu'il en soit, sa mission est désormais ici, dans cette ville où toute communication a été coupée voilà quelques jours déjà. Comme à son habitude, c'est Léon qu'on envoi pour régler ce genre de problème. Ses supérieurs ne lui ont pas donné d'ordre très clair, sur le papier, sa mission est : Découvrir ce qu'il se passe à Black River. Etrange comme mission, généralement ils sont plus précis que ça quant à la menace, la mission en elle-même (assassinat, infiltration, sauvetage, ...). Là, rien, pas même une idée de la menace. Sans que les Hauts Gradés n'en savent pas plus eux même. N'est-ce pas pour ça qu'il a été formé? Si !

En touchant le sol, Léon fit un signe de la main au pilote de l'hélicoptère signalent qu'il avait touché le sol et que tout allait bien. La corde se détacha de l'hélicoptère et la carlingue s'en alla.

* Bon, faut pas que je reste ici, les rôdeurs ne vont pas tarder à arriver *

Il prit la direction du Nord. Il savait que sa zone de largage si situait à 1.5 kilomètre de l'entrée de la ville, ainsi il ne serait pas déposé en plein milieu de la ville, au cas où la zone serait ... dangereuse, comme disent ses supérieurs. Dangereux ! Toutes les missions qu'il effectue sont dangereuse, en quoi quelques zombies de plus ou de moins peuvent changer quoi que soit?

En entrant dans la ville, un silence de mort règne. Mis à part quelques oiseaux par-ci par-là, pas âme qui vive. C'est bizarre.
Généralement, le protocole exige de prendre contact avec les forces de l'ordre local afin d'évaluer la situation. Léon savait exactement où se trouvait le commissariat de police, il avait étudier la ville sur des cartes et des photos satellite pendant 4 jours, il savait donc quel route emprunter. Un problème survint quand même, est-ce judicieux de prendre le chemin le plus court alors qu'il ne sait pas ce qu'il se passe? Le chemin le plus court devant le faire marcher près de 1 kilomètre sur la voie principale de la ville. Si une épidémie s'était propagée (la situation actuelle appuierait cette théorie) la voie principale serait à éviter à tour prix.
Léon décida donc de passer par une rue adjacente à celle-ci, plus petit et donc plus sûr (moins de zombies peuvent arriver en même temps et plusieurs ruelle peuvent servir de lieu de fuite en cas de problèmes).

Sur le chemin, Léon croisa sur le sol des pas. Des pas d'une personne, cette personne avait l'air de marcher, mais d'une façon bizarre, son poids n'était pas répartis équitablement. 2 idées viennent à l'esprit du jeune homme : Un infecté OU une personne marchant avec un arme ET qui marche discrètement. Dans les 2 cas, la situation ne s'arrangeait pas car dans les deux cas, cela voudrait dire que la ville a belle et bien été contaminé par un virus "mortel". Il devait en avoir le cœur net.
Les traces de pas le mena jusqu'à un cinéma désaffecter. Il franchit les portes, s'avança de façon tactique. Une silhouette se tenait en face de lui, lui tournant le dos. Léon dégaina doucement, sans faire de bruit, et pointa son arme en direction de l'individu. Il n'était plus qu'à 2 mètres lorsqu'il marcha sur un bout de verre éclater au sol. L'homme se retourna brusquement et pointa une lampe de poche en direction de Léon, ce qui l'éblouit, il ne s'y attendait pas.

- Oh ! , éteignez-moi cette lampe tout de suite, vous êtes complètement malade ou quoi !, chuchota Léon.

L'homme s'exécuta immédiatement, mais un autre bruit survint juste derrière les 2 hommes ...


HRP (Puisque Wolke ne répondra plus, je me permet de réagir à sa place pour le besoin du topic. Dès que Rayen et moi seront partis, je ne le ferais plus.)
Dim 13 Mai - 18:04

Dernière édition par Leon S. Kennedy le Jeu 17 Mai - 7:12, édité 1 fois
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La journée avait été longue pour Rayen, depuis que quelque chose d’étrange était arrivée dans la ville on dirait que le monde avait arrêtée de tourner. Depuis deux jours Rayen cherchait des survivants dans la ville à cette étrange apparition de monstre. Il cherchait aussi à rendre le commissariat de police plus sécuritaire et défendable au cas où une ou plusieurs de ces créatures tente de les attaquer.
Mais au bout d’un moment faire du ménage fini par fatiguer le membre du S.W.A.T de black River. Il décida qu’il était plutôt temps d’aller faire un tour. Les rues étaient dangereuses mais le policier en avait vue d’autre, du moins depuis qu’il avait croisé ces montres. Allant à son sanctuaire, l’armurerie, il enfila son uniforme ainsi que son équipement. Il prit ses armes et ce dirigea vers l’extérieur du commissariat.

Depuis l’extérieur il décida d’aller en direction des commerces de la ville. Si il trouvera du monde ils seraient surement proche des vivres et autres choses pratiques. D’une démarche très méticuleuse il se dirigea à cet endroit. Tout semblait des plus normal, jusque qu’au moment où le bruit d’une porte attira son attention.

‘’Bon enfin quelque chose de vivant…..à moins qu’ils soient capable d’ouvrir les portes…..’’

Le policier se dirigea vers la porte qu’il avait entendu. Cette porte qui appartenait au cinéma de Black River. Mais alors qu’il allait s’aventurer à vue une autre personne le devança et entra rapidement. Rayen parue surpris, il n’avait jamais vue cette personne et semblait soucieux.

Son arme dégainé il s’installa contre la porte et l’ouvrit lentement. Une lumière de lampe se déplaçait devant ses yeux et quand qu’il entra un coup de vent vint fermer la porte précipitamment créa un lourd bruit. Les deux hommes purent voir aisément le policier l’arme haute, ses marquages du S.W.A.T sur son uniforme et sa cagoule sur son visage.

- Wow, je ne pensais pas trouver autant de gens d’un coup par ici !

Rayen resta sur ses gardes et attendait une réaction des deux autres.
Dim 13 Mai - 18:28
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Lorsque le jet de lumière éblouit Léon, sa première réaction fut d'ouvrir le feu sur l'individu, mais il se ravisa, sachant que les seuls personnes capable de faire ça sont des humain vivant ... Vivant ! Il y avait donc bien au moins une personne vivante dans cette sinistre ville.

Après lui avoir demandé à l'individu de baisser sa lampe, un autre bruit, celui-ci beaucoup plus alertant se fit entendre derrière son dos. Son premier réflexe, encore une fois, fut de dégainer et être près à tirer à l'endroit d'où provenait le bruit.
Mais à sa grande stupéfaction, ce n'était pas un homme, ni même un zombie qui, à première vue, était la cause du bruit, c'était dû à un un homme de forte carrure avec tout un équipement solide, noir, dédié principalement aux forces de l'ordre de l'élite : le S.W.A.T. !
Léon comprit très vite qu'il ne s'agissait pas d'un zombie car il se mit à parler :

- Wow, je ne pensais pas trouver autant de gens d’un coup par ici !


* Un membre du S.W.A.T. ? Intéressant, il va peut être pouvoir me dire ce qu'il se passe ici *

Léon abaissa son arme mais le garda au pied du nouvelle arrivant et regarda l'homme droit dans les yeux et lui dit :

- Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous foutez ici ?
Lun 14 Mai - 3:45
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La tension était soudaine, trois personnes, toutes armées dans la même pièce mais une chose la diminuait ils étaient tous des êtres vivant. Ne sachant pas trop quoi dire sur le moment Rayen attendit la réaction des autres Léon fut le premier à parler.

- Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous foutez ici ?

Qui il était, un bon début pour au moins savoir qui était devant lui.

-Je suis le Caporal Rayen Dahl, Je suis un membre des forces tactiques de Black River, je suis en patrouille pour trouver des survivants ou toute personne ayant besoin de mon aide. Et je peux vous retourner la question aussi…

La cagoule d’intervention cachait toujours son visage mais pour montrer qu’il n’était pas menacent en ce moment il rangea son arme dans son étui.
Lun 14 Mai - 17:16
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Tous ce qui s'était passé depuis l'arrivé de Léon n'annonçait rien de bon.
Tout d'abord une ville déserte, des voitures garés n'importe comment et certains cabossé dû à des collisions, et 2 hommes armé dont l'un n'a l'air d'être qu'un civil.
Tout ça ne signifiait rien de bon et un problème majeur devait en être la cause. Heureusement, l'homme qui venait d'arriver allait sans doute pouvoir lui donner des réponses.

L'homme masqué lui dit :

-Je suis le Caporal Rayen Dahl, Je suis un membre des forces tactiques de Black River, je suis en patrouille pour trouver des survivants ou toute personne ayant besoin de mon aide. Et je peux vous retourner la question aussi…

C'était donc bien un membre des forces de l'ordre de Black River. Un soulagement, au moins ce n'est pas un de ses hommes qui se font passé pour ... quoi que. Qu'est-ce qui pouvait confirmer ce qu'il venait de dire? Il aurait très bien pu forcer la porte du commissariat des forces tactiques, prendre un kit afin de se faire passer pour un membre alors qu'il n'en est rien. Mais au moins le danger immédiat s'était réduit lorsque le Caporal rangea son arme dans son étui, marque de confiance.
Il abaissa toute de fois son arme, mais au lieu de le ranger l'homme en face de lui, il préféra le garder à la main (au l'instruction des Agents Spéciaux, l'une des règles essentiel était de pouvoir réagir à tout évènement plus vite que les autres. Le faite de garder son arme à la main lui donnait une fraction de seconde en plus pour réagir. Ca peut sauver des vies).
C'est donc avec prudence et réserve qu'il se présente :

- Je m'appelle Léon, je suis un Agent Spécial dépêché directement du Pentagone suite à une alerte donné à Black River. Disons que je suis la première ligne d'information, même si nos sources montrent que des personnes seraient peut être déjà arriver avant moi. Mais je n'ai encore rencontré personne ici. Pouvez-vous me dire ce qu'il se passe ? Où sont les habitants ?
Jeu 17 Mai - 7:11
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Rauen fut surpris un moment. Un agent spécial? Visiblement les choses devaient être pirent qu'il le croyait. Il défie la sangle de son casque et retira sa cagoule qui commençait à devenir chaude. Il laissa apparaitre ainsi son visage et ses cheveux brun coupé très court.

-La situation...à vrai dire je ne sais psa trop comment l'expliquée, il y a quelques jours le services de police c'est fait innondée de plainte à propos de gens bizzard ce promenant ici et la dans la ville. Mais quand l'équipe tactique dans laquelle j'était à été envoyer en intervention nous somme tomber sur des montres qui ont ravager l'ensemble de mon unité. Depuis les civiles , ceux qui ne son pas morts se son éparpiller dans la ville....

Il se gratta la tête avant de reprendre.
-Pour le reste je ne sais pas ce que ces monstres sont, je n'est aucune idée....

Il posa son regard un moment sur Léon par la suite.
-Et vous que faite vous ici?
Jeu 17 Mai - 18:23
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Les craintes de Léon se confirmèrent lorsqu'il entendit le compte rendu de Rayen : Le virus-T ou peut être même le virus-G s'était répandu à Black River !
Il fallait réagir, et vite ! Mais comment s'y prendre? Il n'a qu'à sa disposition un homme, dont tout laisse pensé qu'il n 'est qu'un civile quelque peu terrorisé vu son silence depuis l'arrivée de Rayen et ce fameux Rayen, membre des forces de l'ordre local. Ils ne formaient pas une bien belle équipe. mais c'était ça sinon rien. Un instant, il vint à l'idée de Léon de partir et d'aller à la recherche de la souche mère tous seul, comme il a l'habitude de faire. Mais quelque chose lui disait qu'il ferait peut être mieux de garder ce Rayen près de soit, à défaut de communications avec le centrale, un guide ne lui serait pas refus car, même si Léon avait étudié les cartes satellites de la ville, il lui fallait pouvoir parer à tout imprévus, et une personne sur place ne pouvait pas de refus. De plus, ça lui permettrait de le garder en vie si les choses tourneraient mal ainsi que d'avoir un appuie-feu ; un fusil un plus peut vous sauvez la vie de ce monde. Quant au civil, la seule solution pour le moment était de le laisser vagabonder à sa guise. Il serait un fardeau plus qu'un équipier. S'il a su se maintenir en vie quelques jours, il pourra se maintenir en vie quelques heures de plus le temps qu'ils comprennent ce qu'il se passe. Ils viendraient le rechercher plus tard.

Lorsque le jeune policier lui demande ce qu'il faisait ici, Léon hésita, les missions doivent resté secrète, elles sont classées "Top Secret" au point où il n'apparaitra peut être jamais dans les journeaux qu'un membre de Agents Spéciaux était sur place.

Il décida donc de mentir :

- On m'a envoyé récupérer des informations sur ce qu'il se passe ici, c'est tout. Une fois que j'aurais suffisamment de renseignement, je me ferais extrader et les politiciens verront ce qu'ils feront de vous.

Il était certes direct, mais dans ce genre de situation, mieux vaut l'être et ne pas donné de faux espoir, surtout pas à un policier.
Après une courte pause, le temps que le jeune homme comprenne la situation, Léon repris :

- Ecoutes-moi bien, la survie de cette ville dépend de ce que tu vas me raconter !
Comment étaient les "monstres", comme tu dis? Etaient-ils vraiment monstrueux, grands, avec un crâne très développer? Ou étaient-ils juste comme des humains, mais marchant lentement et n'ayant qu'une seule envie : vous mangez ?


Léon devait savoir quelle souche du virus s'était répandue afin de savoir à quoi il avait eu la chance d'éviter en traversant une partie de la ville sans rien n'avoir vu. Il devait savoir ce qu'il l'attendait dehors lorsqu'il sera temps de sortir.
Ven 18 Mai - 8:32
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Le policier tentait de comprendre ce que l'homme lui disait. Des monstres? À quoi ressemblait t'il.

-Des zombies, il y en avait tellement se soir la je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en sortir....mais il y en avait d'autre, capable de ce déplacer beacoup plus vite....

Il se gratta le front un monment il se demandait dans quelle histoire il c'était mis encore.

-Je crois que la majorité de la population semble être devenu ses monstres....

Dim 20 Mai - 17:24
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C'est avec un arrière goût que Léon écouta les paroles du policier :

-Des zombies, il y en avait tellement se soir la je ne sais pas comment j'ai fait pour m'en sortir....mais il y en avait d'autre, capable de ce déplacer beacoup plus vite....
-Je crois que la majorité de la population semble être devenu ses monstres....


C'était donc ça !
Voilà l'information qui l'avait amené jusqu'ici, des zombies !
Maintenant qu'il en était certains, il fallait absolument aller prévenir le commandement, mettre la ville sous quarantaine.

* Si le virus-T et le virus-G a été éparpillé ici, personne n'y survivra si on ne fait rien ! * se dit Léon.

- Très bien, vous allez me suivre, nous allons sortir d'ici et aller dans une zone sécurisé en attendant de se faire extrader. Ils vous ont mordus, griffer, vous avez ingurgité une substance venant d'eux telle que sang, salive, ... ?

Léon ne voulait pas le faire paniqué, mais s'il avait été en contact avec un contaminé et qu'il l'avait griffé ou mordus ou qu'un quelqu'un échange ait eu lieu, les jours du jeune policier aurait été en danger et il aura appliquer des mesures radicale : le garder en vie et au moindre signe de faiblesse ou de mutation, le tuer d'une balle dans la tête sans aucune hésitation. Dans ce genre de situation, une fraction de seconde d'hésitation peut vous être fatale. Voir une personne qui s'approche de vous, hésiter à tirer car il pourrait très bien être un humain ... et vous vous faites mordre, condamné à trouver l'anti-virus dans les quelques heures sinon la seule solution pour ne pas vous transformer réside dans votre poche : un pistolet - une balle.


(Tu as craqué? 5 lignes :p )
Dim 20 Mai - 18:12
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Les images des zombies sautant sur ses collègues lui revenait. Plusieurs de ses créatures leurs étaient tomber dessus durent leurs dernière mission. Sur l'ensemble de l'escouade il n'y avait que lui qui en avait échapper les autres ont été tuer violament tuer sous ses yeux. Son commandant d'unité lui avait dit de fuire et d'alerter les autres mais après cela plus rien.

La seconde parti de la question le tira de ses songe.
-Non je ne leurs est pas touchée, je suis l'armurier et le tireur de support du groupe alors je ne suis jamais le premier en avant malgré ma formation. Le lieutenant qui dirigeait l'équipe ma dit d'aller prévenir le capitaine du comissaria et quand je suis retourner l'endroit avait été sacager et laisser pour contre....comme si toute la ville en quelque heure avait tournée au chaos......

Il repensa ensuite au travail qu'il avait fait au comissariat, l'ordre qu'il tentait de faire dans cette endroit et ensuite de chercher des survivants.

-Le commisariat reste un endroit sécuritaire, quand je suis retourner après ma derniers missions l'endroit était sans dessus dessous comme si des gens avait voulu faire disparaitre des choses, depuis trois jours je cherche des indices toute en fortifiant l'endroit si je trouve d'eventuelle survivant pour les protégers.

-Quand pensée vous?


Il attendait d'avoir la réponse de l'homme.
Dim 20 Mai - 19:44
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-Non je ne leurs est pas touchée, je suis l'armurier et le tireur de support du groupe alors je ne suis jamais le premier en avant malgré ma formation. Le lieutenant qui dirigeait l'équipe ma dit d'aller prévenir le capitaine du comissaria et quand je suis retourner l'endroit avait été sacager et laisser pour contre....comme si toute la ville en quelque heure avait tournée au chaos......

Sur ce coup là, Léon voulait bien le croire. Il n'avait aucune raison de mentir. A quoi bon? Dans la panique, il l'aurait dit en espérant pouvoir être soigner. Le regard du jeune homme parut être ailleurs, comme s'il repensait à ce qu'il venait de se passer. C'est normal, à vrai dire, personne n'est forcé à voir ses amis se faire manger par une horde de monstres sanguinaire insensible aux balles de fusils. Personne n'est préparé à ce genre de spectacle.
L'homme revint vite à la raison :

-Le commisariat reste un endroit sécuritaire, quand je suis retourner après ma derniers missions l'endroit était sans dessus dessous comme si des gens avait voulu faire disparaitre des choses, depuis trois jours je cherche des indices toute en fortifiant l'endroit si je trouve d'eventuelle survivant pour les protégers.

-Quand pensée vous?


Quel brave homme ! Même si toute son unité a été tué, que le monde dans lequel il croyait vivre venait de s'écrouler sous ses yeux, il garde son rôle de policier en faisant tout son possible pour sauver des vies humaines. Il en faut du courage pour accomplir ce genre de choses dans un monde pareil.

- Je vois que vous avez prévu de survivre. C'est bien. Combien de personnes se sont déjà réfugiés au commissariat? Certains ont-ils été mordus ou griffés?

Si une seul personne avait été mordus, cela ne servirait plus à rien de se rendre au commissariat, ils seraient sans doute déjà tous mort. Sauf si le contaminé venait d'être mordus il y a moins de 2 heures. Si c'était le cas, il y aurait encore une chance de l'éliminer sans que les autres survivants ne soit contaminés. C'était un risque à prendre pour sauver ceux qui pouvaient encore l'être.
Lun 21 Mai - 5:41
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Rayen réfléchie au nombre de personne se trouvant dans le commissariat. Le sous-sol avait quelque cellule avec des prisonniers temporaires, une ou deux personnes ayant enfreint la loi pour conduite en états d’ébriété ou un coup de poing sur un policier. Sinon quelque agents si était réfugier comme des civiles.

-Il doit rester trois agents de la police municipal ainsi que trois ou quatre civiles dont deux en cellule le temps qu’elles reprennent leurs esprits d’une nuit trop arrosée. Pour la remplacer surement par une période d’horreur carabiné. Pour ce qui est des blessures je ne peux pas l’évaluer comme cela malheureusement. Personne ne se parle dans le commissariat en ce moment…

Prennent quelque bonne bouffée d’air l’agent des SWAT reprit.

-Si tout va bien là-bas nous pourrions surement s’en servir comme place forte. Nous avons des provisions pour quelque temps et je tente de remettre l’armurerie sur pied.
Lun 21 Mai - 18:25
Invité
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L'homme expliqua la situation au poste de police. Une petite dizaine de personnes s'y trouvaient dont 3 policiers. Intéressant. Léon devait voir ça de ses propres yeux. Mais, pour le moment, le danger si situait ici, au cinéma. Léon ne savait pas pourquoi, mais quelque chose le poussait a resté ici. Sans doute l'envie de rester en sécurité ici et ne pas sortir à la rencontre, encore une fois, de ses monstres assoiffés de sang et de chair humaine. Mais son boulot, bien qu'il ne soit pas très plaisant de temps en temps, consistait à sauver des vies. Hors, ici, à part un muet et un agent de police, personne d'autre ne devait être sauvé tandis qu'au commissariat, des vies étaient en jeu.

- Je vois. Nous allons nous diriger vers le commissariat dans ce cas. Mais à une seule condition : Si je vous dis de fuir, vous fuyez. Si je vous dis de courir, vous courez. On se comprend ?

Finalement, il semblerait que ce policier ne soit tout aussi important pour que lui qu'il ne l'est pour le policier. Ils allaient devoir s'entre aider pour survivre.

- Avez-vous un système de communication fonctionnelle dans votre commissariat? Il faut que je prévienne mes supérieurs de la situation. Plus vite ça sera fait, plus vite nous pourrons être extrader, les occupants du commissariat, vous et moi. Mais il va falloir que j'inspecte toutes les personnes là bas. Si je découvre qu'une personne est infectée, je devrais sans doute abattre. Et ça n'est pas négociable. C'est le prix à payer pour notre survie à tous. Je sais de quoi je parle.

En effet, Léon avait été clément lors d'une mission. La jeune fille, âgée d'à peine 11 ans, s'était fait mordre pendant leur fuite. Il n'arrivait pas à mettre fin à ses jours, il voulait croire qu'il réussirait à la sauver, qu'ils auraient le temps de regagner l'hélicoptère d'extradition. Mais non, ils n'y arrivèrent pas. Elle tomba raide morte à quelques kilomètres de lieu de rendez-vous avec la carlingue. Elle se releva, du sang coulait encore de sa bouche. Une balle suffit ...
Depuis ce jour, Léon s'était promis de tuer quiconque ne pourrait pas être sauvé afin d'éviter que cela ne se reproduise et mette la vie d'autrui en changer.
Mar 22 Mai - 5:35
Invité
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Rayen écouta attentivement ce que l'agent lui disait. Il devrai l'écouté mais il restait quant même un policier, il ne le laisserai pas tomber quoi qu'il arrive. Visiblement ce n'était pas son genre, maintenant il devait savoir comment était les autres et le plus tôt serai le mieux.

-Parfait je vais vous écouter et faire du mieu que je peu, vous avez l'air de vous y connaitre dans le domaine j'ai l'impréssion....

-Pour ce qui est d'un système de communication nous devrions en avoir un, par contre si il est fonctionnelle je ne sais pas....depuis que l'endroit et sans dessus dessous, il y a surement un peu de travail à faire dessus pour qu'il puisse fonctionner. Je verrai ce que je peu faire quand nous arriveront.

Le SWAT ne porta pas attention à ce qu'il dit à propos d'éventuelle infecter, ce n'était pas le moment de remettre toute en question, il souhaitait seulement que rien de grâve soit arriver en son abscence. Il retourna à la porte pour l'ouvrir tranquillement et jeter un oeil vers les rues. Il fit un signe que c'était dégager, maintenant il n'attendait que la réaction de Léon pour commencer à ce déplacer.
Mer 23 Mai - 21:54
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Puisque le sujet était terminé, mais que par ma faute le dernier post a été effacé, je considère qu'il est terminé. Toutefois, puisque les membres sont présentement inactifs, je ne noterai que Wolke. Si ces membres reviennent et veulent réclamer leur bonus, le faire par MP.

Longueur du sujet : 0/2
Longueur des posts : 2/2
Intrigue : 0/2 (Puisque tu n'as pu faire qu'un seul post...)

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